XII.- En quoi diffèrent l'imagination et la chose imaginée, le fantastique et le fantôme - Chap. Certainement vous êtes raisonnable aussi, vous ne vous êtes pas figuré que je me donnerais de la peine comme aujourd’hui, et que j’organiserais la chose de ce soir, qui est un travail bien fait, de l’aveu de tous ces messieurs, pour aboutir à vous demander de quoi aller boire du rouge à quinze et manger du veau chez Desnoyers. L’amour compris comme une comédie lui apparaît la plus ridicule chose du monde. La morte était déjà déposée sur une table. La fraicheur et la qualité des truffes sont assurées par la relation directe avec les caveurs qui permet de le servir à table seulement quelques heures après sa récolte et d'en conserver toute les propriétés organoleptiques. Chaque qualité de ce précieux champignon souterrain arrive à maturité à différents moments de l'année, ce qui permet donc la possibilité d'avoir des truffes fraiches et parfumées de la saison d'été à celle d' hiver. Les propriétaires de truffières ou propriétaires de terrain font appel à ses services pendant la saison de la truffe pour les retrouver pendant la saison de la truffe entre le 15 décembre et la fin du mois de février

Quoi qu’il en soit, tartufe a pris, sous la plume de Molière, une valeur spéciale. À quelle idée le nom de tartufe fait-il allusion ? Le Duchat, dans ses notes sur Ménage, prête à ce nom une étymologie plus savante ; truffer, dans l’ancien langage, était synonyme de tromper : comment vous savez bien vous truffer des pauvres gens, dit en effet Panurge à Dindenaud. Les truffes et nos champignons séchés sont ensuite roulées à la main dans la poudre de cacao. Si vous aimez les épices chaudes, ajouter une cuillère à café d’un mélange cannelle-gingembre en poudre. Les truffes sont des champignons qui poussent en symbiose avec les racines d’un arbre hôte. Il faut veiller à ce que le type guide ultime des truffes parcelles retenues pour chaque nouveau projet de verger à truffe soient propices au développement de l’arbre hôte et à la croissance des truffes. Nous avons récolté quelques publications de chefs qui ont déjà la truffe d’Alba à la carte … Malgré ça, les grands chefs français l’ont déjà mise à la carte, c’est un produit d’exception et la clientèle est au rendez-vous pour se l’offrir

Poularde Souwaroff. - Farcir la poularde avec 250 grammes de foie gras et 150 grammes de truffes noire lisse crues, coupés en très gros dés ; la poêler aux trois quarts. Réunir dans une casserole : 250 grammes de petits pois frais avec 10 petits oignons nouveaux ; une petite laitue ciselée ; un bouquet garni composé de branches de persil, de cerfeuil, et d’un brin de menthe ; sel et sucre. La dresser ; la napper de sauce Suprême mise au point avec 100 grammes de Beurre printanier, truffes noire lisse par litre de sauce ; l’entourer d’une garniture composée de : bouquets de petits pois, de haricots verts et de pointes d’asperges, liés au beurre. Manier le tout avec 50 grammes de beurre ; ajouter 2 petites cuillerées d’eau ; couvrir et cuire ces légumes à moitié, en les sautant de temps en temps. Croyez bien que l’exclamation prêtée par Henri Monnier à Monsieur Prudhomme : « Une telle quantité d’eau frise le ridicule, » est un mot de boutiquier parisien ébahi à la vue de l’Océan. Décorer la surface d’une couronne de lames de truffes ; couvrir d’un papier beurré et mettre au four de chaleur moyenne pour : 1o pocher la farce ; 2o bien chauffer la garniture intérieure

Ce citoyen diſtingué, qui eſt parvenu dans le voiſinage de ſes terres en Beauce & en Brie, à donner une opinion avantageuſe de cette plante, évalue les frais de culture d’un arpent meſure de Paris, d’une bonne terre, à 54 liv. La truffe blanche n’est pas une truffe d’été ! En ce temps ancien nous n’avions pas encore conscience de nous-mêmes : on se sentait Chrétien contre le Musulman, et l’on allait bâtir des cathédrales merveilleuses ; mais on ne se savait pas Français contre l’Allemand, l’Anglais ou l’Espagnol. C’est des Français qu’il faut se débarrasser, ce sont eux les délinquants. La forme convient aussi bien que toute autre chose à la revue, mais ne voyez-vous pas que notre Buloz hésite et recule parce qu’il y a cinq ou six phrases assez hardies et que le cher homme craint de se brouiller avec son cher gouvernement… Ce n’est qu’une rencontre toute fortuite dans un même passage, dans une même ligne, de deux faits séparés par presque deux années de distance, car nous savons que la querelle entre Chopin et Maurice n’eut pas lieu à la veille de la Révolution de février, ou même dans l’été de 1847, mais bien réellement au commencement de l’été 1846. Relisons un autre passage de l’Histoire (précédant celui-là, venant immédiatement après les lignes citées dans le chapitre v et peignant les exigences outrées de Chopin par rapport à la « nature humaine », les « engouements et désillusions » qui en résultaient, sa sensibilité extrême par rapport à toute chose grossière ou inélégante, à toute ombre, toute tache chez les personnes qu’il fréquentait)